| Informations sur un vol | |
| Pilote | remim |
| Date | 22 / 05 / 2019 |
| Décollage | Grands Crêts |
| Atterrissage | Vache |
| Aile | Enzo 3 |
| Type de vol | Cross |
| Durée | 4h30 |
| Conditions au décollage | |
| Conditions de vol | |
| Conditions à l'atterrissage | |
| Distance parcourue | 140 Km |
| Gain max. | 0 m |
| Gain total | 0 m |
| Points de contournement | |
| Vol avec instruments | Non |
| Encadrement | Autonome |
| Compagnons de vol | |
| Récit | Météo: NNE (20km/h au plaf), instabilité forte (>0,8), étalement sur les reliefs possible dans l’après-midi. J’ai pris que mon après-midi donc RDV à l’attero à 12h20 avec le C15 pour monter les voiles. Au déco vers 12h50, le temps de se préparer rapidement, c’est déjà bien installé, on pouvait je pense décoller une bonne heure avant. Décollage à 13h10, ça monte tout de suite, les premières sensations confirme que l’instabilité est un peu haute, les thermiques sont fort et petit. C’est pas simple à enrouler. Un premier thermique qui me sort 200m au-dessus du deco, je le perds, je reviens un autre que je décale, je le perds à nouveau, je pars du coup derrière, sans grand succès… je suis déjà en bataille, je trouve une petite bulle qui me permet de me décaler jusqu’à une zone que j’ai déjà exploité (légèrement sous le vent), je prends un bonne danse pendant 5mn, mais ça monte, 1700m puis 1800m avant Rivolet. Les nuages sont déjà bien étalés, et je rattrape une grande zone d’ombre après la carrière et jusqu’à Pontcharra, je passe en mode survie, j’enroule en moyenne du négatif (inférieur à mon taux de chute) donc c’est pas pire. Vers Pontchara sur une petite tache de soleil, je retrouve un bonne bulle (toujours aussi carré à enrouler), 1800m au-dessus de la Liouffe, c’est tout dans l’ombre côté Matagrin et de manière générale c’est bâché sur la droite. Je prends donc une route qui est plus à gauche qu’habituel, une tache de soleil sur Montrottier, ça remonte sans problème au plaf. Je passe Ste Foy l’A, et j’arrive sans toucher quoi que ce soit jusqu’au plateau de Coise, 150m sol, c’est reparti pour de la survie pendant quelques km. Je retrouve un peu de soleil au niveau de St Symphorien, je monte à 1600m, ce qui me permet de me positionner sur le bout du plateau sous un joli cum. Je me dit que c’est le dernier thermique, je prends un maximum, toute la vallée de Givors à St Etienne est dans le noir, tout comme le Pilat. Dans la transition, j’envoi un message à Isa pour lui dire que j’arrive vers St Etienne, en me disant que je vais surement prendre le train pour rentrer. Je contourne la CTR et je glisse vers les pré reliefs du pilat. Ma seule chance est une tache de soleil après St Etienne (au niveau du Chambon Fougrerolle), 200m sol un thermique salvateur me remonte à 1800m. Pour le moment les prévi de velivole collent parfaitement à la réalité. Donc si pour la suite ça se confirme, il est prévu que ça se dégage au fur et à mesure du coup ça me redonne un coup de fouet. Et le ciel se confirme rapidement, j’arrive à enchainer sans trop de problème. Comme d’habitude je m’oblige à prendre un axe Sud Ouest en prévision de la suite du parcours (Zone R…. et Cévennes), sinon je serai bloqué. Au barrage de Lavalette, un groupe de 5 milans noir (il me semble) me montrent « LE THERMIQUE », contrairement aux martinets qui jouent avec mes nerfs en me montrant des thermiques pourris… Du coup +6 direct plaf à 2250m ! Je passe Yssingeaux, en me décalant pour changer de ligne, je retrouve pas grand-chose et du coup je me jette derrière le col du Pertuis, je me fais un peux démonté dans le raccrochage, le thermique est pas top et la dérive comme prévu est Nord et m’emmène ou je ne veux pas. J’arrive pas à me replacer sous les nuelles qui reste dans la zone, et me fait poser, c’est tôt 17h40. Je bloque encore une fois dans la même zone ou je n’ai pas encore la solution. Restait 2h de vol sans problème. |
| Photos du vol | |
| Trace GPS (format Google Earth) |
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Moi aussi, je veux un carnet de vol Parawing !